Comme je l'avais annoncé, je reçois ou visite en ce moment quelques individus de bonne compagnie que j'ai connus par le passé avant de venir m'établir dans la perfide Albion. Ainsi, Nicolas, revenu du Japon pour un petit mois m'a fait l'honneur de venir passer deux jours ici. A son arrivée, nous sommes allés faire un petit tour de la ville, entre l'Ouest jusqu'à la gare et l'Est jusqu'au bâtiment de criminologie de Manor Road avant de tenter d'être servis au Eagle and Child.
Qui dit visite de Nicolas dit évidemment visionnage de gros nanars pour mon plus grand bonheur : ainsi en rentrant, nous nous sommes installés devant Braddock, portés disparus 3, un film pour le moins patriotique dans lequel Chuck Norris, bravant ces salopards de technocrates de Washington, s'en va gagner la guerre du Viet Nam tout seul à coups de pied retournés. Si vous ne l'avez pas déjà subie, je vous renvoie à la réplique la plus emblématique de l'histoire du cinéam reaganien. Pour la chronique de la chose sur nanarland, c'est par ici.
Le lendemain, j'ai essayé quelque chose de complètement différent de d'habitude : nous nous sommes en effet rendus au château d'Oxford. Au passage nous nous sommes offert un petit-déjeuner équilibré, comme l'atteste la photo suivante.
Qui dit visite de Nicolas dit évidemment visionnage de gros nanars pour mon plus grand bonheur : ainsi en rentrant, nous nous sommes installés devant Braddock, portés disparus 3, un film pour le moins patriotique dans lequel Chuck Norris, bravant ces salopards de technocrates de Washington, s'en va gagner la guerre du Viet Nam tout seul à coups de pied retournés. Si vous ne l'avez pas déjà subie, je vous renvoie à la réplique la plus emblématique de l'histoire du cinéam reaganien. Pour la chronique de la chose sur nanarland, c'est par ici.
Le lendemain, j'ai essayé quelque chose de complètement différent de d'habitude : nous nous sommes en effet rendus au château d'Oxford. Au passage nous nous sommes offert un petit-déjeuner équilibré, comme l'atteste la photo suivante.
Le château en lui-même se visite, mais c'était guidé et nous n'avions plus tellement le temps, donc nous nous sommes contentés de grimper sur le tumulus qui se trouve juste à côté, pour la somme modique de 1£.
Le tumulus. Dommage qu'on n'ait pas droit d'y effectuer des roulis-boulis.
Du haut du tumulus, plusieurs dizaines de siècles nous contemplent. En tout cas, on a une belle vue du château.
L'après midi, j'ai délaissé mon invité pour une raison assez fallacieuse : je devais aller assister à un cours sur la déforestation.
Le soir, nous avons participé à un student diner très animé, avant de visionner Challenge of the Tiger, un film d'espionnage érotique d'art martial dans lequel Bruce Le (ce n'est pas une faute de frappe mais un sosie de Bruce Lee) s'occupe de tataner un certain nombre d'individus et d'animaux sans qu'on sache trop pourquoi, tandis que Richard Harrison (un de mes ninjas caucasiens préférés), lui, s'occupe, euh... du casting féminin. Si Braddock m'avait paru un peu long, Challenge of the Tiger m'a impressionné par le n'importe quoi permanent de l'intrigue et par la prestation du grand Richard qui manifestement a très vite compris ce que valait le film et a décidé de non-jouer au diapason.

Jeudi, la visite de Nicolas s'est achevée par la classique visite de Christ Church College. Il est ensuite reparti vers d'autres horizons tandis que moi, j'ai commencé à me préparer psychologiquement à l'étape suivante, à savoir une visite en territoire rival pour voir si l'herbe est vraiment plus verte dans "l'autre" ville universitaire...